Un orignal dans les Territoires du Nord-Ouest (J Polfus @JeanPolfus)
La chasse de subsistance contribue aux gagne-pains de nombreux des Canadiens du nord et rural. La nourriture traditionnelle, incluent du poissions et de viande, fournit la sécurité alimentaire et la valeur nutritionnelle pour des communautés isolées, dont des régimes achetés de l’épicerie peut manquer des alternatifs d’alimentation sain. Malgré ces bénéfices, des alimentations qui sont basées sur de viande et des poissions peut nuire la sécurité publique si la nourriture est contaminée.
Des paysages de montagnes, en particulière dans le nord, sont perçus d’être purs à cause de leurs faibles niveaux de développement et des immenses zones de nature sauvage. Cependant, des populations des animaux isolés ont la tendance de s’accumuler une concentration élevée des polluants. Quelques polluants persistants (qui inclut le mercure gazeux) peuvent avancer des distances longues de leur source d’émission – propulsé des vents du nord dans les environnements d’arctique et d’alpin, où des températures plus frais les fait faire de tomber de l’atmosphère. Des autres polluants occurrents naturellement, par instance des métaux qui viennent des dépôts des minéraux exposés. Après l’absorption par des plantes, ces mélanges toxiques passent dans la chaine alimentaire et accumuler dans les tissus des animaux grands qui menace des populations humaines qui les mangent.
Un panache d’orignal (J Polfus @JeanPolfus)
Pour déterminer les risques de sante potentielles des alimentations traditionnelles du nord, une équipe des chercheurs Canadiens ont mesuré les concentrations des métaux dans les tissus d’orignal, du caribou, de mouflon de Dall, et de chèvre, collecté des monts Mackenzie située à la frontière entre le Yukon et les territoires du Nord-Ouest. Ce sujet d’étude reçoit une basse pression de chasse de subsistance mais des chasseurs locaux distribuent fréquemment la viande entres les communautés voisines. Des chercheurs ont trouvé que les contaminations ont varié parmi des espèces qui réfléchissent les différences d’alimentation. Par exemple, les concentrations de mercure étaient le plus élevé dans le caribou qui mangent beaucoup de lichen, et les concentrations de cadmium étaient le plus élevé dans l’orignal qui ont la tendance de manger les arbres et arbustes. Bien que le cadmium était considéré naturel de son origine, les concentrations étaient particulièrement élevée dans les reins d’orignal. Il n’y aurait des signes significatifs de lésion rénale qui indique que la population d’orignal n’était pas probablement non affectée. Cependant, les tissus contaminés sont une concerne de leur sécurité pour la consumation humaine. Il est intéressant de noter que le césium radioactif qui ont issu de la catastrophe de Fukishima en 2011 était détecté dans quelques tissus collecté à la fin de cette même année. Tandis que des concentrations de césium étaient bas et sont peu probable de poser des risques directs de santé, ces résultats montrent la vitesse ces émissions peut atteindre et accumuler dans les populations des animaux du nord –et décrit la vulnérabilité des alimentations traditionnelles aux procès d’état local et l’atmosphère mondial.
Cet article est un article écrit par Charlie Loewen. Pour plus des renseignements, lire la recherche originale publié (en anglais) :
Nicholas C. Larter, Colin R. Macdonald, Brett T. Elkin, Wang Xioawa, Naomi J. Harms, Mary Gamberg and Derek C.G. Muir (2016) Cadmium and other elements in tissues from four ungulate species from the Mackenzie Mountain region of the Northwest Territories, Canada. Ecotoxicology and Environmental Safety, 132:9–17 (doi:10.1016/j.ecoenv.2016.05.018).
Traduit par Rebecca Isbister.