Experimental setup at Barrier Lake Field Station (C Loewen @Loewen_Ecology)
Depuis des décennies, la gestion des lacs de montage du Canada a donné la priorité au réempoissonnement pour créer des opportunités pour pêche à la ligne et du tourisme. Bien que des programmes de réempoissonnement se sont terminés dans la plupart des zones protégées –ils ont remplacé par un effort renouvelé sur la préservation des écosystèmes naturels –l’influence de cette pratique historique continue parce que les pêches récréatives pas indigène du lac restent une caractéristique bien visible de l’eau montagne. Ces prédateurs étrangers sont considérés invasif parce que leur effet sur les espèces originales. Par instant, des truites arc-en-ciel concurrencent ou hybrident avec les pèches originales en s’attaquent les invertébrés et soulèvent la croissance des algues. Néanmoins, il n’est pas certain comment les effets varient avec le changement climatique.
La biodiversité peut être considéré un type « d’assurance biologique » pour des communautés affectées parce que quand les conditions environnementales changent, la productivité des espèces tolérantes peuvent augmenter pour contrebalancer des pertes par les espèces plus vulnérables. Dans les lacs alpins les conditions sévères de l’environnement limitent le nombre de zooplancton qui existent localement. Mais ces organismes petits ont évolué de voyager des distances longues par vent ou d’attacher sur des oiseau d’eau qui passent le lac. Par conséquent, les lacs alpins avec une biodiversité basse peut-être protégé contre les effets d’invasion par l’arrivé des espèces tolérantes au stress des lacs proches.
Des chercheurs de l’Université de l’Alberta ont réalisé une expérience en utilisant des organismes vivants dans une série des réservoirs á l’Université de Calgary « Barrier Lake Field Station » pour analyser les effets de la prédation des truites arc-en-ciel sur des zooplanctons des lacs alpins naturellement dépourvus de poisson et comment des effets peuvent varier avec le réchauffement climatique ou l’arrivée d’une espèce d’un autre lac. Ils ont trouvé que des poissions ont éliminé des certaines espèces de zooplancton et ont réduit la productivité totale de la communauté alpine. Cependant, l’introduction de zooplancton des altitudes moins élevées a aidé la communauté par l’addition des espèces avec des caractères spécifiques qui ont les rendus tolérant à la prédation de pèche. Les résultats n’ont pas été affectés par des traitements de réchauffement. Cette étude montre que malgré la sensitivité des communautés de zooplancton à des espèces de pèche invasives, l’arrivée des espèces régionales peut réduire les effets d’invasion et aide de conserve le fonctionnement de l’écosystème face á du changement environnemental.
Cet article est un article écrit par Charlie Loewen. Pour plus des renseignements, lire la recherche originale publié (en anglais) :
Charlie J.G. Loewen & Rolf D. Vinebrooke (2016) Regional diversity reverses the negative impacts of an alien predator on local species-poor communities. Ecology, 97:2740–2749 (doi:10.1002/ecy.1485).
Traduit par Rebecca Isbister