Les glaciers Berg et Mist à Parc Provincial de Mount Robson (C Loewen @Loewen_Ecology)
Des avancements de la photographie aérienne et l’imagerie satellitaire nous ont permis de voir le monde de haut et de mesurer des motifs sur la terre à un degré de précision inégalé. Cependant, ces méthodes modernes échouent souvent quand on veut regarder dans le passé. Quelques chercheurs utilisent la photographie historique de terrestre afin de répondre aux questions de comment des écosystèmes ou des paysages ont changé au fil du temps.
Pour analyser des photographes historiques plus effectivement, des chercheurs ont développé un outil de relier des images avec leurs locations physiques sur la terre. Ça aide de créer des cartes des paysages historiques en utilisant ces informations géoréférencées (Par exemple, la couverture végétale).
Pour vérifier la précision de cette nouvelle approche, des chercheurs de l’Université de l’Alberta, Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage (WSL) de Suisse et l’Université de Victoria ont utilisé une collection de photographes récurrentes de « Mountain Legacy Project » une grande collection des images qui documentent les montagnes Rocheuses depuis le début des années 1990. Ils ont appris que des photographes d’outil bien placées dans 15 mètres de leurs locations du monde réel ont permis une évaluation rapide des conditions environnementales. Cette étude montre que des nouvelles technologies peuvent utiliser d’informations historiques pour comprendre les changements du paysage de montagne au fils du temps.
Cet article est un article écrit par Charlie Loewen. Pour plus des renseignements, lire la recherche originale publié (en anglais) :
Christopher A. Stockdale, Claudio Bozzini, S. Ellen Macdonald & Eric Higgs (2016) Extracting ecological information from oblique angle terrestrial landscape photographs: Performance evaluation of the WSL Monoplotting Tool. Applied Geography, 63:315–325 (doi:10.1016/j.apgeog.2015.07.012).
Traduit par Rebecca Isbister