Le caribou (Gouvernement des Territoires du Nord-Ouest – Ministère de l’Environnement et des Ressources naturelles)
Le caribou est essentiel l’économie, la culture et le gagne-pain des communautés autochtones nordiques. Dans la région Sahtú aux Territoires du Nord-Ouest du Canada, les peuples Dene reconnaît trois types du caribou – le tǫdzı (caribou du bois), ɂekwę́ (Caribou de la toundra) et shúhta ɂepę́ (caribou de montagne) –chaque avec une histoire, un comportement et un état de conservation différent.
Les chercheurs ont besoin d’examiner attentivement la structure de la population et les caractéristiques des types du caribou (par exemple, les taux de survie) pour apprendre plus de ces animaux et développer des stratégies de conservation appropriés. Les peuples autochtones, avec leurs points de vue culturels uniques et leur connexion à la terre, peuvent offrir un bénéfice important pour les enquêtes scientifiques en contribuant leur connaissance traditionnelle et la participation dans des partenariats de recherche collaboratives.
Pour mieux comprendre les populations du caribou du nord, un équipe de chercheurs se sont engagés à « Łeghágots’enetę » qui veut dire « apprendre ensemble », avec cinq communautés du nord, par le mélange de connaissance scientifique et traditionnelle. Des membres de la communauté, des chercheurs du gouvernement, des aînés locaux, et des chercheurs académiques ont contribué dans des areas et langues différents. L’équipe de recherche s’est retrouvé seulement avec des communautés dans une série des réunions publiques et des groupes de discussion pour le développement d’un plan de recherche collaborative de collection et analyse des données du caribou.
Cette étude explique l’effet significatif de connaissance traditionnelle sur le dessin et résultat d’un projet. Par exemple, une relation professionnelle avec les peuple Dene ont découvert une connaissance approfondie du comportement du caribou et leur préférence d’habitat. La clé de trouver ces renseignements est ancré profondément dans le linguistique, parce que le dialogue constant a commencé de montrer les connexions écologiques pas évidemment par des recherches d’un seul langue. En utilisant une approche multiculturelle, l’équipe a trouvé que le linguistique, la connaissance traditionnelle et les gabarits génétiques a vérifié l’autre et a soutient avec succès l’indentification du caribou et la différentiation entre des groupes pour la conservation biologique.
Cet article est un article écrit par Kelly Fowler et révisé par Charlie Loewen. Pour plus des renseignements, lire la recherche originale publié (en anglais) :
Jean L. Polfus, Micheline Manseau, Deborah Simmons, Michael Nevelle, Walter Bayha, Frederick Andrew, Leon Andrew, Cornelya F. C. Klütsch, Keren Rice and Paul Wilson (2016) Łeghágots’enetę (learning together): the importance of indigenous perspectives in the identification of biological variation. Ecology and Society, 21(2):18 (doi:10.5751/ES-08284-210218).
Traduit par Rebecca Isbister