Des rigoles d’inondation á Mont Chester du bassin de la rivière Bow (C Loewen @Loewen_Ecology)
En l’été de 2013, les Rocheuses Canadiennes du sud ont subi une grande inondation. Il y avait une montée d’eau à travers la plupart du sud d’Alberta et quelques endroits du sud-est de Colombie-Britannique qui a résulté des accidents mortels et des milliards de dommages. Cet évènement était la catastrophe naturelle le plus cher dans l’histoire Canadienne et a produit une concerne sérieuse si les modes d’inondations sont en changement avec le climat.
L’écoulements d’eau dans les ruisseaux canadiens typiquement passent à la fin du printemps ou début d’été comme ils assemblent avec l’eau de fonte de neige accumulé pendant l’hiver. Cependant, la glace fondue était tard en 2013 –à cause des tempêtes de neige sérieux en Mai et des conditions humides et chauds dans le sud d’Alberta – il y avait des fortes pluies après une accumulation de neige de la saison déjà trop grande du 19 à 22 de juin. Cet évènement de « pluie-neige » a accéléré la glace fondue dans des hautes élévations, qui a créé une tempête parfaite au même temps que l’écoulement d’eau de la glace fondue a intensifié l’inondations de la pluie impitoyable.
Bien que des inondations d’une magnitude similaire se sont produites dans la passé d’Alberta, il n’est pas clair comment le climat ou les variations de la couverture de terre –comme tels exemples associé avec des régimes des feux différents, peut contribuer à la sévérité et la fréquence des inondations.
Pour mieux comprendre ces connections potentiels et la possibilité de comment d’eau de crue dans des montagnes change depuis du temps, des chercheurs de l’Université de Saskatchewan et Environnement et Changement climatique Canada ont comparé des données du climat et des animaux avec des mesures d’écoulement du fleuve historiques ramassé au Station Hydrométrique de la rivière Bow à Banff, Alberta. L’analyse de tous des archives disponibles des chercheurs ont trouvé que les magnitudes et les volumes d’inondations ont diminué depuis le début des années 1900’s ; cependant il n’y a pas des dossiers historiques trouvé quand les évènements de pluie-neige étaient analysé séparés des inondations de glace neige plus communes. De plus, des chercheurs ont échoué de trouver des associations claires entre les caractéristiques des inondations locales et le climat ou feu de forêt. Ces résultats suggèrent que la rivière Bow était énormément résistante aux changements depuis un siècle, mais aussi met l’accent sur la sévérité potentielle des évènements grands de pluie-neige. Bien que les pluies fortes au-dessus des accumulations de neige profondes sont rares dans les Rocheuses Canadiennes, il reste à voir comment les modes de précipition peuvent changer avec le changement climatique du futur.
Cet article est un article écrit par Charlie Loewen. Pour plus des renseignements, lire la recherche originale publié (en anglais) :
Paul H. Whitfield and John W. Pomeroy (2016) Changes to flood peaks of a mountain river: Implications for analysis of the 2013 flood in the Upper Bow River, Canada. Hydrological Processes, DOI: 10.1002/hyp.10957 (doi:10.1002/hyp.10957).
John W. Pomeroy, Ronald E. Stewart and Paul H. Whitfield (2016) The 2013 flood event in the South Saskatchewan and Elk River basins: Causes, assessment and damages. Canadian Water Resources Journal, 41:105–117 (doi:10.1080/07011784.2015.1089190).
Traduit par Rebecca Isbister